La question de la réintégration de travailleur·euse·s en incapacité de travail de longue durée pour raison médicale vous préoccupe ?
Deux actions pour vous soutenir :
Celles-ci ont toutes été structurées autour de trois phases :
Ces fiches sont destinées aux acteur·trice·s du non-marchand : travailleur·euse·s, représentant·e·s syndicaux·ales, employeur·euse·s, membres du services RH, professionnel·le·s de la santé…
Un rapport présentant la méthodologie de l’étude, ses résultats et des recommandations est également disponible.
Une matinée d'information a été organisée le 4 mai 2021 par plusieurs fonds des asbl FeBi, Apef et l’asbl Abbet.
Découvrez les documents de présentation des intervenants et visionnez en différé cette matinée en cliquant ici.
Au programme :
La question de la réintégration de travailleur·euse·s en incapacité de travail de longue durée pour raison médicale préoccupe depuis longtemps les pouvoirs publics et les interlocuteur·trice·ss sociaux·iales. Comment s’approprier les différentes législations ? A quoi être attentif·ve pour mettre en place une démarche collective de prévention ? Comment prendre contact avec un·e collègue malade ?… Autant de questions qui animent des débats entre interlocuteur·trice·s sociaux·iales et acteur·trice·s spécialisé·e·s sur les questions de bien-être et de santé au travail.
Entre 2018 et 2020, les fonds de formations de l’asbl FeBi, deux fonds de l’asbl l’Apef et l’Abbet ont piloté une recherche-action, menée par le centre Metices de l’ULB et Citéa, sur la réintégration des travailleur·euse·s malades de longue durée. Ce projet visait à rendre compte des pratiques mises en œuvre dans les institutions du non-marchand pour encadrer l’accompagnement du retour au travail, mais aussi à mettre en évidence les éventuelles difficultés inhérentes aux situations de réintégration.
Les résultats se basent sur une enquête qualitative approfondie au sein de 18 institutions du secteur non marchand et la confrontation des expertises et expériences des employeur·euse·s, travailleur·euse·s et de leurs représentant·e·s ainsi que des acteur·trice·s de santé en particulier, des conseiller·ère·s en prévention interne, des médecins du travail et des médecins-conseil.